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    l'épreuve écrite de la pédagogie :préparation à l'examen

    hamzaoui abdeladim
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    l'épreuve écrite de la pédagogie :préparation à l'examen Empty l'épreuve écrite de la pédagogie :préparation à l'examen

    مُساهمة من طرف hamzaoui abdeladim الأربعاء 17 فبراير 2010 - 18:20

    [b][left]Les examinateurs ou les correcteurs qui participent à la correction des épreuves écrites du C.A.P ou de passage de grade ou de catégorie sont généralemùent amenés à faire les mêmes constatation désabusées : qu'ils soient l'oeuvre du personnel remplaçant ou des élèves-professeurs, les devoirs de pédagogie présentent pour la plupart des faiblesses d'une frappante analogie.


    Sans parler des fautes d'orthographe ou des erreurs de syntaxequi, pour être devenues monaies courante à notre époque, n'en sont pas moins déplorables à rencontrer chez de futurs éducateurs, et de l'insuffisance des connaissances qui trahit le caractère superficiel d'une documentation hâtive, le défaut le plus répandu, , chez les uns comme les les autres , est l'incapacité de compenser un développement logique et celui-là est plus grave parce qu'il est révélateur d'un manque de méthode. Il faut nous rendre à l'évidence; parmis nos candidats et nos candidates, nombreux sont ceux et celles qui ont du mal à prendre exactement conscience du problème qui leur est posé et ne savent ni en peser les termes essentiels, ni le circonsrire avec netteté.

    C'est pour pour nous les permettre de combler cette lacune de leur formation que j'offre aujourd'hui, aux uns comme aux autres , ce modeste anal qui, je l'espère, non seulement les aidera dans leur préparation mais encore leur fera prendre goût à une matière.
    intéressente entre toute pour ceux qu'un petit effort quotidien ne rebute pas.

    =======================================================================

    Les épreuves écrites d'aptitude pédagogiques et les épruves de psychologie et les épreuves de pédagogie pratique.
    Une composition de pédagogie générale

    Une comosition de pédagogie spéciale
    ========================================================================

    Une épreuve de psychologie de l'enfant appliquée à l'éducation
    ========================================================================

    Après avoir reconnu la necessité d'une préparatio sérieuse, il reste à accomplir l'effort qui conduira le condidat au succès. celui-ci est double :

    - effort de documentation : acquisition des connaisances théoriques et pratiques indispensables;

    - effort de rédaction : choix des connaissances et maitrise de leur expression.

    Ce double effort ne portera ses meilleurs fruits que s'il est méthodiquement conduit : la documentation doit suivre un plan strict, la rédaction doit-être parfatement raisonnée.
    ========================================================================
    L'ACQUSITION DES CONNAISSANCE : AYONT UN PLAN D'ETUDE


    A) REPARTITION DES PROGRAMMES.

    C'est dans trois directions principales que doit s'exercer l'effort de documentation : Psychologie de l'Enfant, Pédagogie spéciale ( ou pratique ), Pédagogie Générale ( ou théorique )

    Pour la Psychologie, le plus simple est d'adopter une méthode génétique, c'est - à - dire de suivre les différentes étapes du développement de léenfant. Leur nombre peut-être ramené à quatre : première enfance, second enfance, troisième enfance,,adolescence.

    La pédagogie spéciale porte sur l'étude des disciplines enseignées. Celles-ci peuvent également être réparties en quatre tranches :

    .Langue française, Lecture, Ecriture 1.
    2. Cacul, Histoire, Géographie
    3. Sciences, Rédaction.
    4.Dessin, Travail manuel, 2ducation physique, Chant,

    Même répartition pour les questions de Pédagogie générale:

    . Les Elèves,l'Educateur,l'Education, la Classe, l'Ecole.

    .l'Education maternelle, la Préparation de la classe, la Discipline, les Punitions.
    .Les Méthodes, Méthodes traditionnelles, Méthodes actives, l'Ecole nouvelle.
    .La Leçon, le Livre, les Devoirs.

    ========================================================================

    L'EFFORT D'EXPRESSION : ENTRAINONS-NOUS A COMPOSER ET A REDIGER


    Rédiger un devoir, ce n'est pas laisser courir son stylo après une rapide lecture du sujet. La rédaction proprement dite n'est que la dernière étape d'un travail que nous proposons d'articuler en quatre temps : Compréhension du sujet
    Recherche du plan général
    Etude détaillée
    Rédaction.


    1 - Compréhension du sujet : Contenu et Limites.


    Trop souvent, les candidats mal préparés se bornent à rechercher dans le texte de quelle matière il s'agit et à transcrire ce qu'ils en savent. Un candidat sérieux ne procède pas ainsi : il séfforce au contraire de comprendre exactement le contenu du sujet et d'en bien marquer les limites.

    Soit par exemple le sujet : " On parle beaucoup de l'esprit d'équipe. Quels sont, selons vous, ses limites et ses danger?"

    A première vue, il a quelque rapport avec le travail par groupes. Nous relirons donc ce qu'en disent les Auteurs que nous avons lus: Ozouf(Pédagogie vécue,p.599 à 601,Souché(Nouvelle Pédagogie,p.342)Hubert(Traité de Pédagogie,p.530-532,Mory(Travail Individuel et travail par équipes) et surtout Cousinet(La Méthode du travail libre par groupe). Mais attention : il ne nous est pas demandet d'exposer toutce que nous en savons; deux mots marquent nettement les limites de notre propos : "mérites" et "danger". Allons-nous réciter tout ce que nous savons sur les mérites et les dangers du travail par équipes? -Non, car deux petits mots retiennent encore notre attention ; "selon vous". Ce n'est pas l'opinionde Souche, d'Hubert ou de Cousinet qu'on nous demande, mais la nôtre. Et puis, suggestionnés par nos lectures, nous avons failli nous laisser entraîner sur une fausse piste : ce n'est pas du travail par équipes qu'il est qestion, mais de "l'esprit d'équipe", et ce terme réduit considérablement les limes du sujet.

    2 - Recherche du plan général.

    Après avoir compris et délimité le sujet, il faut en distinguer les grandes lignes. Faute de méthode, la recheerche du plan général embarrasse la plupart des candidats. la tâche est pourtant aisée si l'on adopte une idée directrice. Suivons ici le conseil doné Buffon dans son Discours sur le Style : "Avant de chercher l'ordre dans lequel on présentera ses pensées, il faut s'en être fait un autre plus général et plus fixe où ne doivent entrer que les premières vue et les principales idées."

    Le sujet cité plus haut, par exemple, porte sur deux points; mérites de l'esprit d'équipe, danger de l'esprit d'equipe. Mais aussi dans son essence il est " un " : on nous demande en effet notre avis sur une seule question, l'esprit d'équipe. NOus diront qu'il s'agit là d'un sujet simple à développer articulé en deux paragraphes.

    Soit le sujet : " Expliquez, en vous plaçant au point de vue scolaire, cette définitio : la sanction est à la fois expiation, remède et exemple ." - C'est encore un sujet simple puisqu'il ne comporte qu'une explication. Celle-ci sera fragmentée en trois paragraphes : la sanction et expiation, la sanction est remède, la sanction est exemple.


    Voici un autre sujet : " Le rôle de l'éducateur suppose un tempérament de dépense plutôt qu'un tempérament d'épargne-Que veut-il dire par là? Justifiez et discutez cette affirmation." - Est-ce un sujet simple? Non. Il comprend deux parties : explication de l'affirmation de M.Hubert,justification ou discussion de cette affirmation. Nous dirons de ce sujet qu'il est binaire. Les sujets binaires sont aisément reconniassables : ils se présentent généralement sous la forme d'une explication suivie d'une jsutification, d'une discussion, d'un avis personnel ou d'une application.
    Examinons dans le mêl$me esprit le sujet suivant : " Peu de notion, mais des notions précises, si bien assimilées que l'enfant les applique inconscienmment lorsqu'il parle ou lorsqu'il écrit, voilà tout ce nous demandons à l'enseignement gramatical." - Tel est le but que les instruction officieles fixaient pour l'enseignement de la grammaire. - Développez la pensée de l'auteur des Instructions Officielles. Ce but vous paraît-il convenable? - sous son apparence compliquée, ce sujet offre un plan très net bien qu'il se soit ni simple, ni binaire<; <il comprte l'explication d'une pensée, notre avis personnel sur cette pensée et son application pratique : c'est un sujet tertiaire. Les sujets tertiaires débutent généralement par une explication suivie soit d'une justification soit d'une discussion, soit d'un avis personnel, et se terminene le plus souvent par une explication.
    En résumé, dans la recherche du plan général, l'effort du candidat se bornr à reconnaître dans le sujet donné l'un des types ci_dessous :

    1 Sujet simple à 1,2,3 pargrahphes.

    2 Sujet binaires :
    a-Explication - Justification
    b- Explication - discussion
    c- Explication - avis personnel
    d- Explication - application
    e- Explication - Explication ( deux points de vue )

    3 Sujets ternaires:

    a- Explication - Justification - Application
    b- Explication - Discussion- Application
    c- Explication - Avis personnel - Application
    d- Explication - Explication - Coix entre les deux points de vue.


    3 2tude détailléeé du sujet

    "Pour que le sujet soit vaste ou compliqué, dit Buffon, il est rare qu'on puisse l'embrasser d'un coup d'oeil ou le pénétrer en entier d'un seul et premier effort de génie."
    Tous les sujet, hélas! sont vastes ou compliqués aux yeux d'un candidat. Comment les embrasser et les pénétrer? - En revenant au texte et en procédent à une nouvelle lecture du sujet, éclairée par la découverte du plan g&néral. C'est là le conseil même que nous donne l'auteur du Discours : " C'est en se rappeloant sans cesse ces premiers linéaments qu'o, déterminera les justes intervalles qqui séparent les idées principales et qu'ils naîtra des idées accessoires et moyennes qui serviront à les remplir..." - En d'autres tremes, l'étude détaillée d'un sujet consisteen un incessant va-et--vient du plan au texte : une explication nécessite la copréhension précise des teermes données, sans laquelles la pensée de l'auteur risque d'être insuffisemment appréhendée; une discussion appelle la recherche d'arguments propres à bien mettre en balance le pour et le contre; une application deamnde la vision concrète de toute une série de faits. Et tout effort aboutit à l'élaboration du plan détaillé.

    soit le sujet suivant : " Que faut-il entendre par "savoir lire" dans les différents cours de l'école primaire?

    La documentation peut se réduire ici à la lecture des Programmes et Instructions Officielles. Les candidats aimant travailler en profondeur consulteront utilement la Pédagogie Expérimentale de Simon, la Lecture silencieuse de G.Lowe-Anderson et l'Art de la Lecture de Legouvé.
    Les limites de ce sujet sont facilement discernables : il s'agit de donner du " savoir lire " dans les differents cours. Le Plan général en découle. Ce sujet, qui appartient à la catégorie de sujets simples, appelle à première vue qutre paragraphes : le savoir lire au cours préparatoire, le savoir lire au cours élémentaire, le savoir lire au cours moyen, le savoir lire au cours supérieur et en classe de fin d'études.
    L'étude a pour but de " replir " ces quatre paragraphes. Les instructions permettent de dire que savoir lire, c'est :
    - au cours préparatoire : savoir des signes écrits aux sons, c'est-à dire être capable de déchiffrer correctement
    - au cours élémentaire ; savoir déchiffrer correctement comme au cours préparatoire, mais sans effort et plus rapidement( lecture courante )
    - au cours moyen : être capable de lire couramment, comme au cours élémentaire, mais comprendre ce qu'on lit et le prouver par la manière de lire ( lecture courante et expressive )
    - au cours supéririeu : être non seulement capable de déchiffrer et de comprendre les morceaux, ais aussi en sentir la beauté et être accessible à leur caratère artistique.
    Mais cette conception a été modifié par les nouveau programmes.Ils mentionnent que dès le préâratoir la lecture doit porter sur des mots et des phrases " que l'enfant peut comprendre aisement et lire avec naturel". Savoir lir, c'est donc maintenant; durant toute la scolarité, être capable non seulement de passer des signes graphiques aux sons ,mais encore à la pensée : l'enseignement de la lecture devient fondctionnel.


    4 Rédaction


    Comme dit encore Buffon ," ce plan( détaillé) n'est pas encore le style; mais il en est la base : ille soitient, il le dirige, il règle son mouvement et le soumet à la lois; sans cela, le meilleur écrivain s(égare, sa plume marche sans guide et jette à l'aventure des traits irréguliers et des figures discordantes." C'est donc en prenant appui sur tout ce travail préparatoire que nous rédigerons notre devoir.
    Quel volume lui donner? Quatre pages de format 21x27 suffisent quand elles sont bien utilisée : une demi-page pour l'introductio;, trois pages pour le développement, une demi-page pour la conclusion.
    L'Introduction ploge toujours les candidats dans le plus grand embarras : xcertains l'escamotent, d'autres l'expédient en trois lignes; par contre, il en est qui lui consacrent une page et demie. A quoi sert l'introduction? - Mais tout simplement à introduire le sujet, c'est- à -dire à poser avec suffisemment de netteté devant les yeux du lecteur (qui est notre correcteur) pourb l'y intersser et lui permettre de suivre avec fruit le développement. Le sujet pose toujours un problème : l'introduction en est l'énoncé. Pour être efficace, cet énoncé doit remplir trois conditions :- rattacher le sujet, toujours particulier, à la question plus générale dont il est un aspect;- citer le sujet dans la forme même où il est donné ( afin d'éviter toute substitution );- annoncer les grandes lignes du développement. Mais attention!Losque le devoir comporte une discussion, un avis personnel, un chois, il est maladroit d'aller trop loin et de dévoiler trop tôt ses batteries : il faut toujpurs éviter de se priver de l'effet de surprise susceptible d'emporter l'adhésiondu correcteur. Soit l'épreuve suivante : "A.Ferré dit dans Choses et gens d'enseignement: "On ne calomnie pas notre régime scolaire, si digne d'estime à d'autres égards, en reconnaissant, et en regardant, qu'il s'inquiète assez peu de formet le caractère chez les élèves." - Est-ce votre avis? Voyez-vous des mesures susceptibles de remédier à cette situation?"
    Par cette remarque A. Ferré reproche à notre organisation scolaire de négliger la formation du caractère : nous introduirons donc le sujet en rappelant l'importancede la formation du caractère dansune éducation qui se veut complète, puis nous citerons l'opinion de Ferré ; et comme il s'agit d'un sujet binaire ( avis personnel et recherche l'application pratique ) nous annoncerons ces deux parties. Nous nous garderons bien toutefois de dire d'emblée que nous partagerons la manière de voir d'André Ferré.

    Le développement doit-être équilibré. Sauf explication, l'équilibre s'obtient par le morcellement du développement en partie égales : un : un sujet binaire appelle deux partie dune page et demie; un sujet ternaire, trois parie d'une page. Nous séparerons ces differentes parties en sautant une ligne pour faciliter la tâche au lecteur.
    Quand au sujet simple, comme nous l'avons vu,il se décompose tout naturellement en paragraphe que nous distinguerons en allant à la ligne.
    La conclusion est une introduction à rebours: au lieu d'annoncer, elle résume. Une bonne conclusion reprend les differents points du développement et les ramasse en un racourci saisissant. Ici, plus de mystères ni de cachotteries. Parvenu au bout de cette dernière demi-page, le lecteur doit-être clairement et ddéfinitivement fixé : s'il reste dans l'incertitude, c'est que la conclusion ne répond pas à sa déstination parce qu'elle est trop vague. Si le devoir lui-même gagne à être concs, la conclusion, elle, ne peut pas être autre qu'un super condensé. Tout candidat a intérêt à adopter pour devise ce conseil qu'Alai donnait à ses élèves après leur avoir montré qu'il est toujours facile d'être long : " Serrze, condensez et terminez en coup de point!"

    En core une recommandation : c'estdès le début de la préparation qu'il convient de s'habituer à rédiger dans le temps de l'examen. Rien n'est plus trompeur que sde s'accorder la facilité d'un temps illimité et bien des candidats paient d'un échec l'illusion de croire qu'ils sauront s'adapter au dernier moment. Prenons tout notre temps pour nous documenter; mais, les ivres fermés, limitons-nous aux trois ou quatre heures règlementaires et tirons-en le meilleur parti. Au début, accordons-nous une heure pour le travail préparatoire ( compréhension du sujet, découverte du plan général et étude détaillée ); il nous restera deux ou trois heures suivant l'horaire permis à l'épreuve de l'examen,pour rédiger sans brouillons : savoir réfléchir afin d'exprimer sa pensée de premier jet fait partie d'un bon entrainement. Peu à peu, nous parviendrons à réduire l'effort de préparation à trois quart d'heure ou une demi-heure et ce sera autant de gagner pour la rédaction elle-même : nous en profiterons pour soigner plus particulièrement la conclusion et lui donner une forme parfaite, propre à faire oasser le correcteur sur les inévitables imperfections du developpement.


    =======================================================================

    Que la préparation soit solitaire ou effectuée sous la conduite d'un collègue, les progrèe seront d'autant plus rapides que chacun s'efforcera de déceler lui-même ses défaut et ser animé de la volonté d'y porter remède.
    A titre indicatif, nous donnons ci-dessous un exemple d'examen critique d'un devoir.


    La seconde partie mettra en pratique la méthode préconisée dans la première. Des sujet , des dizaine de sujet dont l'étude détaillée In chaa ALLAH constitue un véritable cours de syschologie zt de pédagogie aisement assimilables. Pour Faciliter la tâche cse devoirs seront présentés zen quatre séries correspondants aux quatre tranches du plan d'étude précédemment indiqué.

    !à bientôt avec le commandemment d' ALLAH LE PUISSANT
    hamzaoui abdeladim
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    l'épreuve écrite de la pédagogie :préparation à l'examen Empty LA CONNAISSANCE DE L'ENFANT- SUJET n° 1

    مُساهمة من طرف hamzaoui abdeladim الأحد 28 فبراير 2010 - 13:05

    Shocked [b]Pus d’une vingtaine de sujets dont l’étude détaillée constitue un véritable cours de psychologie et de pédagogie aisément assimilables. Pour facilité la tâche, ces devoirs seront présentés en quatre séries correspondant aux quatre tranches du plan d’étude précédemment indiqué ; ils sont numérotés et une table analytique permettra de s’y reporter sans perte de temps.

    Chaque devoir est articulé en quatre parties : documentation, compréhension du sujet, plan général, étude détaillée.

    La présentation est aussi guidée pas à pas. Le paragraphe « documentation » indique les lectures possibles. Afin de graduer l’effort, nous signalons :
    a- les lectures simples, suffisantes pour le candidat qui souhaite aller au plus pressé.
    b- les lectures, également simples, susceptibles d’intéresser ceux qui disposent de loisir plus étendus.
    c- les ouvrages spécialisés dont la connaissance sera utile à tous certes, mais plus particulièrement aux candidats au certificat et d’examens de Psychologie et pédagogie (Psychopédagogie ).


    Il reste entendu que ces indications sont loin d’être limitatives et que bien d’autres ouvrages pourront-être consultés.


    Mon attention est d’apporter aux candidats le maximum d’aide, et non de les brider ; chacun reste seul juge de l’effort qu’il peut fournir.




    I – LA PSYCLOLOGIE

    1- La connaissance des enfants



    II – PEDAGOGIE SPECIALE

    1 - L’enseignement du langage.
    2 - Liaison du langage et de la lecture.
    3 – L’enseignement du vocabulaire.
    4 – L’enseignement de la récitation.
    5 – L’enseignement de la grammaire.
    6 – L’enseignement de l’orthographe



    III – PEDAGOGIE GENERALE


    1 – Les élèves.
    2 – L’éducateur : sa vocation.
    3 - L’éducateur : sa culture.
    4 - L’éducateur : son attitude
    5 - L’éducateur : ses devoirs.
    6 – Maître et élèves.
    7 – L’éducation ses débuts.
    8 – L’éducation son principe.
    9 - L’éducation son but.
    10 – L’éducation sa méthode.
    11 – L’éducation ses limites.
    12 – La classe.
    13 - L’école, la famille, la rue.


    LA CONNAISSACE DES ENFANTS.


    Sujet N° 1 :

    Alain écrit dans ses Propos sur l’éducation : « vous dites que pour instruire il faut connaître ceux que l’on instruit. Je ne sais. Il est peut-être plus important de connaître ce que l’on enseigne. »
    Qu’en penser-vous ?
    Documentation.
    Nécessité pour les pédagogues et éducateurs de connaître l’enfant. Vue générale de l’évolution de l’enfant.
    Pédagogie vécue : psychologie et pédagogie.
    Conseils : Connaître chaque enfant.
    Alain : Propos sur l’éducation.


    COMPREHENSION DU SUJET.

    Ce sujet est extrait des Propos sur l’Education. C’est un de ces livres que tout éducateur doit voir. C’est un de ces livres que tout éducateur doit lire Tout éducateur et pédagogue doit au moins savoir que la pensée du philosophe Emile Chartier, lus connu sous le nom d’Alain, doit la plupart du temps être abordée avec prudence car la vérité s’y cache souvent sous des apparences assez paradoxales qui surprennent le lecteur non averti et risque d’être fatales au candidat trop confiant. Même sans paradoxe, un propos d’Alain n’est jamais neutre. Celui-ci exige au moins des candidats qu’ils sortent eux-mêmes de la neutralité. Il contient en effet deux points de vue entre lesquels il est demandé de faire choix : Est-il plus important, pour instruire (Alain ne parle pas d’éduquer), de connaître ceux que l’on instruit ou ce que l’on enseigne ?


    PLAN GENERAL.

    Sujet ternaire : explication de deux points de vue et de choix.

    ETUDE DETAILLEE.


    1° Premier point de vue. – « Pour instruire, il faut connaître ceux que l’on instruit. »

    Ceux que l’on instruit, ce sont les enfants et les adolescents. Pour les connaître, il faut étudier leur psychologie et les observer.
    La psychologie nous apprend que l’enfant n’est pas un adulte en raccourci. Mais au contraire, comme la dit Rousseau, c’est un être qui a ses manières propres de voir, de sentir, de penser. De plus, c’est un être en perpétuel devenir, qui passe par les différents stades d’une évolution qui commence dès la naissance et se poursuit jusqu’à l’âge adulte. Pour s’en tenir à la période scolaire, il faut savoir, par exemple, que le langage naturel de l’enfant est le langage parlé et à quelles difficultés il se heurte dans son acquisition de la langue écrite ; il faut savoir de quels moyens il dispose pour faire la conquête de ces deux fonctions que sont la lecture et l’écriture ; il faut savoir avec quel équipement intellectuel il aborde connaissance du non-moi qui va l’occuper durant toute sa scolarisation et vers quelles réalités le portent ses intérêts natifs, etc.

    Outre cette connaissance générale, il faut connaître les enfants réels qu’on est chargé d’instruire et, pour cela, les observer, non seulement en classe, mais encore en dehors de la classe, en récréation, en promenade, au sport, en groupe, etc.
    Pourquoi faut-il connaître ceux que l’on instruit ? – Mais tout simplement pour leur adapter l’enseignement et ne pas leur entonner des connaissances auxquelles ils ne peuvent prendre goût et qu’ils ne sont pas capables de diriger.


    2° point de vue – « Pour instruire, il faut connaître ce que l’on enseigne. »

    Connaître ce que l’on enseigne, c’est d’abord posséder les connaissances que doit faire acquérir aux enfants .Si par boutade on dit que la « la pédagogie est l’art d’enseigner ce qu’on ne sait pas, » il est évident que l’Art pédagogique le plus consommer n’est rien sans la matière qui lui sert de support. Et le maître ne doit pas savoir seulement ce qu’il doit enseigner : il doit savoir bien plus afin de dominer son enseignement.

    Connaître ce que l’on enseigne, c’est aussi en posséder les principes et savoir pourquoi on l’enseigne. Ainsi connaître l’Histoire, c’est en posséder les faits et la chronologie, mais c’est également savoir qu’on l’enseigne pour enraciner l’enfant dans son groupe national et lui permettre de se situer dans l’évolution humaine ; savoir la Géographie, c’est connaître le visage de la Terre et celui des hommes, mais c’set aussi savoir qu’on l’enseigne pour conduire l’enfant du spectacle de la variété des hommes au respect des différentes ethniques…


    3° Choix…ou conciliation. – il est claire qu’aucun de ces deux points de vue n’exclut l’autre. S’il faut connaître ceux que l’on instruit, afin de leur adapter l’enseignement, il est également nécessaire de connaître ce que l’on enseigne afin de bien enseigner. Mais qu’est-ce-qui doit primer : lai

      الوقت/التاريخ الآن هو الإثنين 13 مايو 2024 - 20:34